Le viol édulcoré de Monsieur POLANSKY

Que Roman Polansky soit incarcéré pour un crime commis à 40 ans sur une fillette de 13 ans, n’est que justice. C’est le temps mis pour l’incarcérer qui est étonnant. Plus surprenant encore sont les réactions des différents responsables politiques Français et Polonais qui protestent contre l’accomplissement normal de la justice en de telles circonstances pour des faits avérés.

« Je trouve incroyables les cris d’orfraie poussés par Mr Sarkozy, Mitterrand et consort alors qu’il s’agit d’un acte odieux et révoltant » proteste Annick du Roscoät, Présidente du CNI.

« Je suis même sidérée d’apprendre que cet individu ait pu vivre tranquillement dans notre pays sans subir, chez nous, les foudres de la justice » poursuit-elle.

« La notoriété ne doit pas être une barrière empêchant la justice de passer » conclut-elle.

 

 

Le CNI s’opposera à la taxe carbone

Suite à l’arbitrage du Président de la République sur la taxe carbone, le CNI affirme sa ferme opposition à tout projet visant à instaurer une nouvelle taxe, la taxe carbone, fût-elle écologique.

« Ce nouveau prélèvement obligatoire ne résoudra pas les problèmes consécutifs à la pollution de l’air sinon qu’alléger un peu plus le porte-monnaie des Français. Arrêtons de considérer les Français comme des « vaches à lait » de l’Etat ! » déclare le Secrétaire Général du CNI, Bernard Beaudet.

« La taxe carbone sera inefficace. L’Instaurer au seul niveau français est ubuesque, Elle contribuera à affaiblir davantage la consommation et pénalisera nos entreprises. L’énergie produite et consommée en France n’est pas la source principale des émissions produites dans notre pays » ajoute-il.

« Cessons ces discours qui sont contraire à notre économie et soutenons vraiment les entreprises qui contribuent au respect de l’environnement en rendant fiscalement plus accessibles les produits non-polluants » conclut-il.

Gilles Bourdouleix répond à Minute

Minute – 10 septembre 2009

Eric Besson, ministre de l’Immigration, de l’Intégration, de l’Identité nationale et du  Développement solidaire, a relancé le débat sur le droit de vote des étrangers extra communautaires aux élections locales, auquel Nicolas Sarkozy est lui aussi favorable. Cela fait hurler le député-maire de Cholet (Maine-et-Loire). Entretien avec celui qui sera peut-être, bientôt, le président du CNI, le Centre national des Indépendants…

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La Présidente du CNI soutient Brice Hortefeux

Face à la polémique suscitée par les propos du Ministre de l’Intérieur, Brice Hortefeux, la Présidente du CNI, Annick du Roscoät lui apporte son soutien.

« Arrêtons de détourner et interpréter les propos tenus par les Hommes politiques. Internet est formidable outil de communication mais peut se révéler comme étant un vecteur de manipulations sciemment organisées à des fins de politiques politiciennes, ce qui est le cas en l’espèce » déclare Annick du Roscoät.

« Je souhaite que Brice Hortefeux puisse continuer à mener à bien les réformes nécessaires à notre pays » conclut-elle.

L’influence française en berne à Bruxelles

« La répartition des présidences des principales commissions législatives du parlement européen s’est faite en faveur de nos partenaires allemands et britanniques. Dans le grand « mercato » des plus hauts postes administratifs de la Commission, les Français avait déjà réduits à la portion congrue au profit, là encore, des Britanniques, des Allemands et des Irlandais » déclare le Secrétaire National du CNI chargé des Affaires Européennes, Stéphane BUFFETAUT.

« La série noire continue en ce qui concerne les postes de cabinet des Commissaires européens. Sur les 195 postes, les Français en obtiennent 25, ce qui à examen superficiel peut sembler honorable (les Britanniques en ont 24 et les Allemands 21). Mais si l’on considère les postes de chef de cabinet, ce qui correspond à nos directeurs de cabinet, le résultat est tout autre. Seuls deux postes ont été attribués à des Français, qui font jeu égal avec les Belges, mais six aux Britanniques et six aux Allemands, or le rôle de ces chefs de cabinet est essentiel.

Tous les dossiers importants sont soumis à la réunion des « chefs de cab » et n’arrivent aux Commissaires que ceux sur lesquels un accord n’a pu être trouvé. En outre ce sont eux qui ont les relations directes avec les directions générales et indiquent les orientations à donner à leurs travaux » ajoute-il.

« L’Union européenne de plus en plus anglo-saxone et anglophone voit l’influence français se réduire sans cesse. Est-ce à dire que les Français sont incompétents ? Non, mais ils semblent répugner à travailler en réseaux et à mener des actions de lobbying au sein même des institutions. De surcroît, l’image de la France reste celle d’un pays qui a du mal à s’adapter aux évolutions économiques et qui reste soumis à la tentation permanente du protectionnisme et du dirigisme, péché capital à Bruxelles ! » affirme Stéphane BUFFETAUT.

« En fin de compte, à l’image de nos partis politiques, les responsables de l’action de la France dans l’Union européenne n’ont toujours pas compris les modes de fonctionnement des institutions et les codes qui permettent d’être efficace et influent. Nous pouvons toujours nous agiter sur nos chaises comme des cabris en criant « l’Europe, l’Europe », celle-ci nous échappe de plus en plus pour devenir un outil docile de la politique et de la culture anglo- saxone » conclut-il.

Le CNI renouvelle ses instances

Les instances du Centre National des Indépendants et paysans (CNI) devant être statutairement réélues, le Bureau Politique a convoqué le Comité Directeur le samedi 24 octobre.

Après trois mandats successifs, la Présidente, Annick du Roscoät, a décidé de ne pas se représenter.

L’ensemble du Bureau Politique a souhaité rendre hommage au bilan de la Présidente en cette soixantième anniversaire de la fondation du parti.

Le Parlement Européen sous domination germano britannique

Après les élections européennes de juin, marquée par un taux d’abstention record à travers toute l’Europe, la seconde étape politique majeure était la répartition des responsabilités politiques au sein du parlement européen et notamment la présidence des commissions.

« Cette assemblée n’ayant que des compétences législatives partielles, le choix des commissions est crucial. Une fois encore, par manque de réseaux et d’alliances au sein de cette assemblée, la plupart des commissions importantes ont échappé à la France pour revenir à l’Allemagne et au Royaume-Uni !

Certes Monsieur Lamassoure a hérité de la commission des budgets, importante pour le fonctionnement des institutions et la définition des perspectives financières, mais qui n’est pas une commission législative » déclare Stéphane Buffetaut, Secrétaire national du CNI chargé des Affaires Européennes.

« Pour le reste, la commission de l’emploi et des affaires sociales revient à Mme Beres, socialiste, mais l’on sait que l’Union européenne n’a que des compétences législatives très réduites en ces domaines, et la commission du développement, qui elle n’a aucun pouvoir réel, a échu à Eva Joly. On notera également qu’aucun Français ne siège au Bureau du parlement ! » ajoute-il.

« En revanche les Allemands ont obtenus les commissions essentielles de l’environnement, de l’industrie, de la recherche et de l’énergie, ainsi que la commission des affaires juridiques. Les Britanniques ont récupérés quant à eux des commissions non moins importantes : commission économique et monétaire, marché intérieur, transports.

Outre la Présidence du parlement, les Polonais ont aussi la présidence de la commission de développement régional et les Portugais celle du commerce international, compétence communautaire.

A l’évidence certains pays savent fort bien où se situent le pouvoir et l’influence dans une Union européenne à compétences principalement économiques ! » explique-t-il.

« Quant aux partis politiques français, ils ont, une fois encore, fait la preuve de leur incapacité à comprendre la nécessité d’un lobbying interne aux institutions pour obtenir les positions clef !

Décidemment au-delà des discours, l’Europe n’est vraiment pas une préoccupation française. » conclut-il.

Le CNI s’oppose au droit de vote des étrangers

Suite aux propos tenus par le Ministre de l’Immigration, Eric Besson, le CNI réaffirme son opposition à tout projet de droit de vote des étrangers non ressortissants de l’Union Européenne.

« Le droit de vote est attaché à la nationalité française et constitue un attribut de la citoyenneté. Citoyenneté et nationalité sont ainsi étroitement liées.
Comme l’énonce l’article 3 de la Constitution de 1958, il n’y a pas de citoyenneté française sans nationalité française. Le principe de souveraineté nationale s’oppose au droit de vote des étrangers », déclare le Vice-Président du CNI et Député-Maire de Cholet, Gilles Bourdouleix.

« La condition de nationalité a toujours été requise dans la tradition politique et constitutionnelle française et ne saurait être supprimée. Les notions de citoyenneté et nationalité ne sauraient être dissociées » conclut-il.