Richard Ferrand et la « moralisation de la vie politique » : l’arroseur arrosé ?

 

Le futur débat parlementaire sur la moralisation de la vie publique ne contribue pas spécialement à me donner le moral.

La transparence à tout prix peut avoir un coût exorbitant et l’on ne conduit pas les affaires de l’État sous l’emprise de la moraline.

Les temps sont schizophrènes. La société française voudrait être gouvernée par des saints laïques, alors qu’elle est avant tout gouvernée par la religion de l’argent et du plaisir à tout prix.

Les députés d’aujourd’hui sont ses enfants gâtés autant que détestés.

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