Les socialistes au secours d’Eric BESSON sur le vote des étrangers ?

La position socialiste qui fait suite aux propos tenus par le Ministre de l’Immigration, Eric Besson, favorable au vote des étrangers dans les élections locales, est une pure tactique politicienne. En déposant sur le Bureau de l’Assemblée Nationale, une proposition de loi à « la va-vite » sur le même sujet, la gauche se donne en spectacle et se disqualifie elle-même.

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Le CNI opposé au droit de vote des étrangers

Suite aux propos tenus par le Ministre de l’Immigration, Eric Besson, le CNI réaffirme son opposition à tout projet de droit de vote des étrangers non ressortissants de l’Union Européenne.

« Le droit de vote est attaché à la nationalité française et constitue un attribut de la citoyenneté. Citoyenneté et nationalité sont ainsi étroitement liées.
Comme l’énonce l’article 3 de la Constitution de 1958, il n’y a pas de citoyenneté française sans nationalité française. Le principe de souveraineté nationale s’oppose au droit de vote des étrangers », déclare le Président du CNI et Député-Maire de Cholet, Gilles Bourdouleix.

« La condition de nationalité a toujours été requise dans la tradition politique et constitutionnelle française et ne saurait être supprimée. Les notions de citoyenneté et nationalité ne sauraient être dissociées » ajoute-il.

« Nous considérons au CNI que le droit de vote est un élément fondamental de l’appartenance à une nation et que, par définition, un étranger n’a pas à en bénéficier ! La dévolution du Ministère de l’Immigration à Eric Besson était, si besoin était de le démonter, vraiment une mauvaise idée ! » conclut-il.

Cholet distinguée

cholet1Le CNI se félicite que le Président de la République Nicolas SARKOZY ait choisi la ville de Cholet, pour présenter ses vœux aux forces économiques de la Nation.

La volonté du Président de la République de distinguer le bassin choletais est une véritable reconnaissance du dynamisme économique et du modèle de développement du Choletais dont le Député Maire Gilles BOURDOULEIX est également Président du CNI.

cholet2Classé dans le top 5 du palmarès des 42 agglomérations françaises les plus performantes et avec un taux stable de 6% de chômeurs malgré la crise, bien au-dessous de la moyenne nationale, le bassin choletais a indéniablement mieux résisté qu’ailleurs à l’onde de choc de la crise économique.

Dans une conjoncture particulièrement difficile et à l’heure où les délocalisations menacent notre économie, l’exemplarité de Cholet démontre sa « capacité à résister, à se réinventer et à se développer » dans un monde en profonde mutation.

Gilles Bourdouleix rend hommage à Philippe Seguin

Gilles Bourdouleix, Président du CNI et Député-Maire de Cholet, exprime sa vive émotion et sa plus grande tristesse suite à l’annonce du décès de Philippe Seguin.

 

« Philippe Seguin était un grand homme d’Etat. Il avait le sens du devoir et était foncièrement attaché aux valeurs de la République. Il a porté avec panache ses convictions au service de nos concitoyens et de la France » déclare Gilles Bourdouleix, Président du CNI et Député-Maire de Cholet.

 

Avec sa disparition, notre pays perd, aujourd’hui, un homme politique d’exception, profondément humaniste et l’un de ses plus fidèles serviteurs » conclut-il. 

Copenhague, un lieu à la mode

Décidément, tout le monde se précipite à Copenhague pour se faire voir !

Dans les allées ont peut croiser Ségolène Royal, Alain Juppé, Yves Cochet, Jean-Jacques Queyranne, les diplomates affairés du monde entier, des représentants des ONG. C’est un grand barnum environnemental. Vous êtes arrêté par des altermondialistes angoissés qui vous expliquent sur un fond dramatique que la calotte glaciaire fond, ce qui n’est pas réellement une nouvelle, ou que la biodiversité est menacée.

Les végétariens vous expliquent qu’en mangeant des légumes vous sauvez la planète et des jeunes gens pleins de bonne volonté, déguisés en ours polaires ou en champignons, vous présentent d’aimables scénettes vous invitent à vous mobiliser pour sauver la terre. Mais au-delà du folklore et des mondanités politiques, les négociations sont entrées dans l’habituelle phase de dramatisation qui précède un éventuel accord. Aujourd’hui, il semble acquis que Copenhague ne sera pas le lieu d’un grand et ambitieux traité sur le climat. Le temps est trop court pour cela.

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RER A : Mauvaise grippe !

Le CNI proteste vivement contre la prise en otage inadmissible des usagers de la ligne A du RER.

« Cette grève est scandaleuse ! La France vit l’une des crises économiques les plus graves de son histoire avec une augmentation massive du chômage, et une catégorie de conducteurs privilégiés ose dans ce contexte douloureux, revendiquer des augmentations de salaires » relève Gilles BOURDOULEIX Président du CNI et Député-Maire de Cholet.

« Il faut rappeler qu’un agent de la ligne A ne conduit que 2 heures 50 par jour, qu’il gagne 3 300 € brut par mois en fin de carrière, que sa journée de travail est de 6 heures 30 mn et qu’il prend sa retraite à 50 ans. Des conditions de travail exceptionnellement favorables qui rend inadmissible et injuste le comportement de ces agents» conclut Gilles BOURDOULEIX.

Courage, supprimons les départements !

Le CNI estime qu’il est indispensable d’aller plus loin dans la réforme des Collectivités Locales.

« La réforme des collectivités locales est nécessaire car le système est devenu illisible en raison d’un empilement de multiples strates : communes, intercommunalités, départements, régions. Il s’agit de mettre fin à ce « millefeuille administratif », ce qui permettra de clarifier les compétences de chaque institution et d’accentuer sur le rôle des élus » indique le Président du CNI et Député-Maire de Cholet, Gilles Bourdouleix.

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Présidence du Conseil européen ; qui sortira vainqueur ?

A voir le large sourire de José Manuel Barroso à l’annonce du choix si difficile des 27 chefs d’Etat et de gouvernement de l’Union européenne pour les postes de Président du Conseil et de Haut représentant pour les affaires étrangères, il était possible d’en conclure qui était le gagnant de ce difficile marathon institutionnel. Au demeurant, il ya quelques semaines Monsieur Barroso avait affirmé que la Commission n’accepterait pas que le Président du Conseil soit considéré comme le visage de l’Europe ! Etrange affirmation qui pourtant ne souleva aucune réaction de la part des Etats membres. En savoir plus