Avenir voilé

« Une pièce de théâtre se moque du Christ notamment en badigeonnant son image. Des chrétiens intégristes manifestent et soulèvent des protestations unanimes y compris de la hiérarchie catholique. Ce n’est pas anormal. On peut ne pas apprécier ces moqueries. Mais il y a d’autres moyens pour les contester que l’action violente. Ces actions sont cependant calmes si on les compare à l’attentat dont a été victime le siège de « Charlie Hebdo » déclare le Président du CNIP, Gilles Bourdouleix. En savoir plus

Annick du Roscoät suspendue de ses fonctions

Le Bureau Politique du CNIP a décidé de suspendre à titre conservatoire Madame Annick du Roscoät, ancienne présidente du CNIP, de ses fonctions de Présidente de la fédération de la Loire-Atlantique.

Madame Annick Gérard, Secrétaire nationale chargée des aînés et trésorière de la fédération, a été désignée par le bureau Politique pour assumer, à titre provisoire, l’intérim de la présidence de cette fédération.

Situation des Harkis : Gilles Bourdouleix interpelle le gouvernement

Question écrite

Au lendemain de la cérémonie d’hommage nationale aux harkis, Gilles Bourdouleix, Député-Maire de Cholet et Président du CNIP, a appelé l’attention du Secrétaire d’Etat auprès du Ministre de la Défense et des Anciens Combattants sur la situation actuelle des harkis.

Lors de la guerre d’Algérie, les supplétifs musulmans ont payé très cher leur fidélité au drapeau français qu’ils avaient toujours servi. Durant la campagne à l’élection présidentielle, le Président de la République promettait aux anciens supplétifs musulmans de l’armée française en Algérie, les harkis, de reconnaître la responsabilité de l’Etat français dans le sort douloureux qui a été le leur.

Il souhaite savoir sous quels délais des mesures de reconnaissance de cette responsabilité seront prises.

Nicolas Sarkozy a respecté la Constitution

L’attaque d’Henri Emmanuelli contre Nicolas Sarkozy est politiquement vide parce qu’elle est juridiquement irrecevable.

Le Président de la République a envoyé le 26 juillet à chacun des parlementaires une lettre dans laquelle, pour résumer, il plaide pour la « règle d’or » qui pourrait être proposée à l’automne au vote du Congrès.

Monsieur Emmanuelli considère cette initiative comme contraire à la Constitution, tout en portant atteinte à la séparation des pouvoirs. Rien de moins !

L’argumentation juridique de Monsieur Emmanuelli repose sur l’article 18 de la Constitution. Dans les colonnes du « Monde », Monsieur Emmanuelli est rejoint par le Professeur Carcassonne que l’on a connu mieux inspiré.