PLFR : « Avec ce projet de loi de finances rectificative, les classes moyennes ne regagneront pas de pouvoir d’achat »

Le député-maire de Cholet et Président du CNIP, Gilles Bourdouleix, n’a pas voté le projet de loi de finances rectificative pour 2014.

« Avec la présentation du PLFR pour 2014, François Hollande et son Gouvernement ont pris acte de l’échec de leur politique économique. Le déficit de la France atteint aujourd’hui 3,8% alors que le candidat Hollande s’était engagé à le ramener à 3% et ce au prix d’une hausse sans précédent des prélèvements obligatoires », déclare le député-maire de Cholet et Président du CNIP, Gilles Bourdouleix.

« La baisse des impôts annoncée ne vise aucunement pas les classes moyennes, qui verront, elles, leur impôt sur le revenu s’accroitre de l’ordre 3,5 milliards d’euros. Le PLFR est une nouvelle attaque contre les classes moyennes, qui paieront toujours plus d’impôts. Avec ce PLFR, elles ne regagneront pas de pouvoir d’achat », ajoute-il.

« Il est impérieux de restaurer la compétitivité des entreprises et redonner du pouvoir d’achat aux ménages », conclut-il.

Gilles Bourdouleix aux côtés des agriculteurs

Gilles Bourdouleix, Député-Maire de Cholet et Président du CNIP, a demandé à Stéphane Le Foll, Ministre de l’Agriculture, de revenir d’urgence sur l’instauration de mesures visant à interdire les épandages phytosanitaires.

« Je condamne fermement les choix entrepris par le gouvernement socialiste qui risquent de mettre en péril de nombreuses exploitations agricoles familiales et des milliers d’emplois. Nous devons défendre notre agriculture, l’identité de nos territoires », déclare Gilles Bourdouleix, député-maire de Cholet et Président du Centre National des Indépendants et Paysans. En savoir plus

Gilles Bourdouleix, député-maire de Cholet, soutient la proposition de résolution relative au maintien d’une Administration et de politiques publiques dédiées aux français rapatriés d’outre-mer

Gilles Bourdouleix, Député de Maine et Loire, Président du Centre National des Indépendants et Paysans et Maire de Cholet s’est prononcé en faveur d’une proposition de résolution au maintien d’une administration et de politiques publiques dédiées aux Français rapatriés d’outre-mer. En savoir plus

GILLES BOURDOULEIX S’EST OPPOSE AU PROJET DE LOI SUR LA REFORME PENALE

Gilles Bourdouleix, Député de Maine et Loire, Président du Centre National des Indépendants et Paysans et Maire de Cholet s’est opposé au projet de loi sur la réforme pénale et a déposé un certain nombre d’amendements visant notamment la contrainte pénale ou les « peines-plancher ».

« J’ai voté contre ce texte car je suis opposé à une justice au service des délinquants. La suppression des « peines-plancher » tout comme la révocation du sursis seront un véritable blanc-seing donné aux récidivistes », déclare le député-maire de Cholet, Gilles Bourdouleix.

« La majorité actuelle, plutôt que de lancer un vaste plan de construction, fait le choix de faire sortir les détenus de prisons en évitant de recourir, par dogmatisme, à l’incarcération », poursuit-il.

« Ce texte va dans le sens de davantage de laxisme dans l’application de la loi, au mépris des victimes », conclut-il.

 

Réforme Territoriale : Gilles Bourdouleix s’étonne que le CNIP ne soit pas consulté par le Président de la République

 

Gilles Bourdouleix, Président du Centre National des Indépendants et Paysans et député-maire de Cholet, s’est étonné dans un courrier adressé au Président de la République, que le CNIP ne soit pas consulté sur la réforme territoriale, en tant que parti politique représenté au Parlement.

« Pour que la réforme territoriale soit réussie, elle doit se faire dans le consensus », a-t-il indiqué à François Hollande.

 

 

Elections européennes : Le CNIP appelle à voter pour les listes UMP

Réuni en bureau politique le 7 mai dernier à l’Assemblée nationale, le Centre National des Indépendants et Paysans (CNIP) a décidé de soutenir les listes investies par l’UMP aux élections européennes.

Pour le président du CNIP, le député-maire de Cholet Gilles Bourdouleix : « Le CNIP est favorable par principe à la construction européenne même si nous critiquons régulièrement les modalités de celle-ci. Nous sommes hostiles à une Europe technocratique et jacobine. Nous la souhaitons plus démocratique et plus respectueuse des peuples et du principe de subsidiarité. »

Concernant le scrutin du 25 mai, Gilles Bourdouleix prédit que « malheureusement, la sphère médiatique et l’opinion publique s’attacheront surtout aux conséquences intérieures du vote, au nouveau désaveu de la politique de François Hollande et de son Gouvernement plus qu’aux conséquences européennes, c’est pourquoi il est de la responsabilité des électeurs de droite de se mobiliser derrière les listes UMP lors du seul et unique tour ».

 

Gilles Bourdouleix n’a pas voté le programme de stabilité

Le député-maire de Cholet et Président du CNIP a annoncé qu’il n’a pas voté le programme de stabilité présenté par le Premier Ministre, Manuel Valls, ce mardi 29 avril.

« Ce programme de stabilité est un leurre. Ce n’est qu’un ralentissement des dépenses, il n’y a pas de véritables économies. Les dépenses publiques continueront à augmenter de 0.7% par an. Les 50 milliards d’économies ont déjà été promis en 2013 pour réduire les déficits et aujourd’hui de nouvelles dépenses sont annoncées. Chercher l’erreur ! », déclare Gilles Bourdouleix, député-maire de Cholet et Président du CNIP.

« Il est dénué d’ambition et de réformes structurelles. Manuel Valls n’engage pas de réformes structurelles qui permettraient de générer des économies, de relancer l’activité et l’emploi », indique-t-il.

« Pour ces raisons et beaucoup d’autres, je n’ai pas voté le programme de stabilité de Manuel Valls » conclut Gilles Bourdouleix, député-maire de Cholet et Président du CNIP.

Le CNIP s’élève contre l’attaque injuste et diffamatoire dont son Président a été la victime de la part de Marine Le Pen

Le CNIP s’élève contre l’attaque injuste et diffamatoire dont son Président Gilles BOURDOULEIX, Député-Maire de Cholet, a été la victime de la part de Marine Le Pen.

« Venant de quelqu’un qui n’a jamais géré la moindre collectivité, qui est championne de l’absentéisme au Parlement Européen et qui a fait de la facilité et du mensonge son fonds de commerce politicien, le CNIP n’a qu’une réponse : le mépris », déclare le secrétaire général du CNIP, Bruno NORTH.